Pourquoi ce projet vous tient-il à coeur ? Transmettez-nous votre engagement !
Les mutilations sexuelles féminines, le mariage forcé mais aussi les grossesses précoces sont tout autant de fléaux qui ne permettent pas à la jeune fille et la jeune femme de disposer pleinement de son propre corps ; un droit pourtant fondamental. Les mutilations sexuelles féminines (MSF) encore largement pratiquées en Afrique et au Moyen-Orient entraînent de graves conséquences physiques et psychologiques tout au long de la vie des femmes. C’est pourquoi, nous, groupe de 4 étudiantes et 1 étudiant à l’IAE de Rouen, avons décidé de porter notre attention mais aussi la vôtre sur l’excision et ainsi apporter notre pierre à l’édifice de la lutte contre ces pratiques néfastes et discriminantes encore trop présentes aux quatre coins du globe. En effet, l’excision, majoritairement pratiquée en Afrique et au Moyen–Orient, est également bien ancrée dans certaines communautés d’Asie (Malaisie, Indonésie, Inde, Pakistan), d’Amérique du Sud (Colombie, Pérou) ainsi que parmi les communautés de la diaspora des pays développés (Europe, Etats-Unis, Canada et Australie).
Quel est votre objectif ?
Quelles solutions pour mettre un terme à ces pratiques désastreuses encore pratiquées dans plus de trente pays et des milliers de communautés? Ce sont les actions de sensibilisation menées qui permettront progressivement d’éveiller les consciences afin de bannir ces actes durablement. Nous souhaitons donc soutenir Unicef dans leur lutte contre l’excision en récoltant des fonds leur permettant de financer leur projet humanitaire. L’UNICEF s’est fixé pour but de mettre fin à l’excision d’ici à 2030. Un objectif ambitieux qui pourra être atteint en partie grâce à vous.
Quelque chose à ajouter ? Une anecdote à partager ?
L’excision des femmes dans les pays en développement est encore très présente et peu puni par la loi. Au Soudan celle-ci est punissable par la loi depuis seulement 2020. L’excision des femmes au Soudan est désormais passible de trois ans de prison. Selon les Nations unies, près de neuf femmes soudanaises sur dix ont subi cette mutilation génitale.